Le 7 novembre 1990, des personnes réunies sur la terrasse de l’hôtel Hilton-Bonaventure, au centre-ville de Montréal, observent dans le ciel une étrange couronne composée de 7 ou 8 lumières ambre. Dans les jours qui suivent, l’histoire de « l’OVNI de Montréal » est sur toutes les lèvres. Si certains supposent de vulgaires reflets sur les nuages, d’autres n’hésitent pas à parler de visiteurs extraterrestres. Puis, deux ans plus tard, lorsqu’un rapport officieux vient confirmer la nature exotique du phénomène, l’incident passe du simple fait-divers local à celui d’événement national. La métropole québécoise a-t-elle réellement été le théâtre de l’une des plus sensationnelles apparitions d’OVNI de tous les temps ?
En novembre 1996, un couple sans histoire d'Eustis, en Floride, est sauvagement assassiné. Le tueur a utilisé un objet contondant pour leur défoncer le crâne. Pendant un moment, les enquêteurs songent à un braquage à domicile qui aurait mal tourné. Mais plusieurs éléments ne collent pas. Plus inquiétant, la cadette de la famille, une adolescente de 15 ans ― présente lors de l'agression ― a aussi disparue. A-t-elle été enlevée par l'agresseur ou a-t-elle joué un rôle dans ce terrible drame ? Un certain Rod Ferrell va bientôt se retrouver dans le collimateur de la police. Il s'agit d'un adolescent de 16 ans, passionné de sciences occultes. Ce Rod Ferrell se dit lui-même un vampire vieux de 500 ans. Le diable l'aurait apparemment chargé de réunir de jeunes Américains pour créer une armée des ténèbres... et cette armée vient de passer par Eustis.
Pour les parapsychologues, les phénomènes de poltergeist sont parmi les plus intéressants. Ils se caractérisent par des manifestations spontanées, bruyantes et parfois… destructives : coups frappés dans les murs, meubles qui bougent tout seuls, vases lancés contre les murs, etc. Ces phénomènes sont rarement associés à des apparitions ou à des « comportements intelligents », mais il y a des exceptions. Dans les années 1970, deux histoires de poltergeist atypiques ont alimenté la controverse : ceux du village de La Machine, en France, et celui d’Enfield, un quartier populaire de Londres, en Angleterre. Encore aujourd’hui, ces cas figurent parmi les plus déroutants de l’histoire de la parapsychologie.
Dans la littérature sur les phénomènes étranges, il y a un groupe d’anomalies regroupées sous le vocable de UGM, pour « Unexplained Ground Markings », un acronyme que nous pourrions traduire par « marques inexpliquées sur le sol ». Comme le nom l’indique, il s’agit d’empreintes mystérieuses qui défient les explications rationnelles. Les amateurs de mystères les associent volontiers à des êtres fabuleux, des extraterrestres au diable, en passant par les fées et les farfadets. Objectivement, ces empreintes posent un sérieux défi à la science puisque leur interprétation repose essentiellement sur les spéculations proposées par les enquêteurs. Le « coupable » n’est jamais vu…Anomalies naturelles ou manifestations surnaturelles ?