Le 7 novembre 1990, des personnes réunies sur la terrasse de l’hôtel Hilton-Bonaventure, au centre-ville de Montréal, observent dans le ciel une étrange couronne composée de 7 ou 8 lumières ambre. Dans les jours qui suivent, l’histoire de « l’OVNI de Montréal » est sur toutes les lèvres. Si certains supposent de vulgaires reflets sur les nuages, d’autres n’hésitent pas à parler de visiteurs extraterrestres. Puis, deux ans plus tard, lorsqu’un rapport officieux vient confirmer la nature exotique du phénomène, l’incident passe du simple fait-divers local à celui d’événement national. La métropole québécoise a-t-elle réellement été le théâtre de l’une des plus sensationnelles apparitions d’OVNI de tous les temps ?
Pour les parapsychologues, les phénomènes de poltergeist sont parmi les plus intéressants. Ils se caractérisent par des manifestations spontanées, bruyantes et parfois… destructives : coups frappés dans les murs, meubles qui bougent tout seuls, vases lancés contre les murs, etc. Ces phénomènes sont rarement associés à des apparitions ou à des « comportements intelligents », mais il y a des exceptions. Dans les années 1970, deux histoires de poltergeist atypiques ont alimenté la controverse : ceux du village de La Machine, en France, et celui d’Enfield, un quartier populaire de Londres, en Angleterre. Encore aujourd’hui, ces cas figurent parmi les plus déroutants de l’histoire de la parapsychologie.
Dans la littérature sur les phénomènes étranges, il y a un groupe d’anomalies regroupées sous le vocable de UGM, pour « Unexplained Ground Markings », un acronyme que nous pourrions traduire par « marques inexpliquées sur le sol ». Comme le nom l’indique, il s’agit d’empreintes mystérieuses qui défient les explications rationnelles. Les amateurs de mystères les associent volontiers à des êtres fabuleux, des extraterrestres au diable, en passant par les fées et les farfadets. Objectivement, ces empreintes posent un sérieux défi à la science puisque leur interprétation repose essentiellement sur les spéculations proposées par les enquêteurs. Le « coupable » n’est jamais vu…Anomalies naturelles ou manifestations surnaturelles ?
En janvier 1988, en Georgie (États-Unis), deux adolescentes mettent les voiles d'un centre d'aide pour jeunes aux prises avec des problèmes graves. Teresa Simmons, 15 ans, et Malissa Earnest, 17 ans, comptent se rendre en Californie. Malheureusement, leur route croise bientôt celle d'un groupe de jeunes satanistes de Douglasville (Georgie). Quelques jours plus tard, le groupe ― incluant Malissa Earnest, une nouvelle adepte ― organise et exécute un sacrifice humain. L'offrande : Teresa Simmons. Ce crime va révéler au grand jour une communauté d'adorateurs du diable et leurs rituels aussi sanglants que macabres.