À l'automne de 1973, une vague d'apparitions d'OVNIS déferle sur les États-Unis. Il ne se passe pas une seule journée sans que la presse ne parle de ces mystérieuses « soucoupes volantes ». Dans la soirée du 11 octobre, Charles Hickson et Calvin Parker se retrouvent sur les berges de la rivière Pascagoula (Mississippi) pour y taquiner le poisson. Vers 20 h, un objet en forme de ballon de football s'approche d'eux à faible altitude. Dans l'obscurité naissante, les hommes pensent d'abord à une voiture de police. Ils ont tort. Charles Hickson et Calvin Parker sont à la veille de vivre un cauchemar sans nom, une rencontre du 4ème type aux mains de créatures que d'aucuns n'hésitent pas à qualifier d'extraterrestres.
En 1995, la petite communauté de La Ronge, en Saskatchewan (Canada), a été le théâtre d'un crime monstrueux. Un enfant a été assassiné et mutilé de manière rituelle. L'assassin, Sandy Charles, un adolescent du village, a vite été appréhendé. Interrogé par les autorités de la GRC, il a vite admis sa responsabilité. Mais les enquêteurs n'étaient pas au bout de leurs surprises. Selon Sandy Charles, son crime s'inscrivait dans un processus magico-religieux inspiré d'un film d'horreur populaire. Sandy Charles rêvait de devenir le plus puissant des sorciers : un Warlock.
À en croire la littérature, les lieux de «grandes souffrances» seraient des terreaux fertiles aux apparitions spectrales et autres hantises. On parle ici d'hôpitaux, d'asiles psychiatriques et, bien sûr, de pénitenciers. Certains de ces lieux sont devenus des rendez-vous incontournables pour les «chasseurs de fantômes», qu'on pense a l'ancien asile de Ste-Clotilde-de-Horton, au Québec, ou à l'hôpital psychiatrique de Pennhurst, en Pennsylvanie (États-Unis). Certains de ces explorateurs de l'invisible en seraient revenus avec des photographies, des films et des enregistrements audio étranges et inexplicables. Ces lieux sont-ils réellement des «trappes à fantômes» ? Et que valent les recherches menées par les chasseurs de fantômes ? Ce qu'ils présentent comme des preuves de manifestations de l'au-delà en sont-elles réellement ?