Dans les années 1980, des figures gigantesques apparaissent dans les champs de culture du sud de l’Angleterre. Les plants de céréales sont couchés en lignes rayonnantes et apparaissent à la faveur de la nuit. Au début, ce ne sont que des cercles mesurant plusieurs dizaines de mètres de diamètre. Puis, au fil des mois, ces traces deviennent plus complexes. De simples cercles, ces figures deviennent des ensembles géométriques complexes. Alors que les chercheurs anglais travaillent à solutionner cette énigme, des figures apparaissent ailleurs dans le monde. Si certains y voient l’œuvre de plaisantins, d’autres y devinent l’intervention d’intelligences supérieures, voire des extraterrestres. Plusieurs soutiennent que certaines de ces figures dégageraient des énergies surnaturelles, preuve d’une origine exotique. Quarante ans après l’apparition des premiers agroglyphes ― littéralement « dessins dans les champs de culture » ―, l’origine de ces figures reste un sujet de controverse.
Dans les contreforts de l'Himalaya, au Népal, des légendes locales réfèrent à des créatures hominidées mi-hommes mi-animales. Ces créatures sont désignées sous différents vocables locaux, mais sont sous le nom de Yéti. Il faudra attendre toutefois les années 1950, et l'arrivée sur place d'alpinistes étrangers désireux de se mesurer aux plus hauts sommets, dont l'Everest, le toit du monde, pour que les légendes locales deviennent un sujet d'intérêt international. Du jour au lendemain, le Yéti devient soudainement le «monstre à la mode». Du jour au lendemain, des aventuriers se mettent en route pour ces contrées dans l'espoir de documenter ― voire capturer ― l'une de ces créatures. Même Tintin devra s'y frotter à la recherche de son ami Tchang...
En 1995, la petite communauté de La Ronge, en Saskatchewan (Canada), a été le théâtre d'un crime monstrueux. Un enfant a été assassiné et mutilé de manière rituelle. L'assassin, Sandy Charles, un adolescent du village, a vite été appréhendé. Interrogé par les autorités de la GRC, il a vite admis sa responsabilité. Mais les enquêteurs n'étaient pas au bout de leurs surprises. Selon Sandy Charles, son crime s'inscrivait dans un processus magico-religieux inspiré d'un film d'horreur populaire. Sandy Charles rêvait de devenir le plus puissant des sorciers : un Warlock.
À en croire la littérature, les lieux de «grandes souffrances» seraient des terreaux fertiles aux apparitions spectrales et autres hantises. On parle ici d'hôpitaux, d'asiles psychiatriques et, bien sûr, de pénitenciers. Certains de ces lieux sont devenus des rendez-vous incontournables pour les «chasseurs de fantômes», qu'on pense a l'ancien asile de Ste-Clotilde-de-Horton, au Québec, ou à l'hôpital psychiatrique de Pennhurst, en Pennsylvanie (États-Unis). Certains de ces explorateurs de l'invisible en seraient revenus avec des photographies, des films et des enregistrements audio étranges et inexplicables. Ces lieux sont-ils réellement des «trappes à fantômes» ? Et que valent les recherches menées par les chasseurs de fantômes ? Ce qu'ils présentent comme des preuves de manifestations de l'au-delà en sont-elles réellement ?